Dialectes et lectures du Coran (Kitab al-Huruf wa al-Qira’at)
كتاب الحروف والقراءات
Chapitre
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a lu le verset coranique : « Et prenez la station d’Abraham comme lieu de prière.
Un homme se levait (pour la prière) la nuit, il lisait le Coran et élevait la voix en lisant. Le matin venu, le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Qu’Allah ait pitié d’untel ! Hier soir, il m’a rappelé un certain nombre de versets que j’allais oublier.
Le verset « Et aucun prophète ne pourrait (jamais) mentir à sa confiance » a été révélé à propos d’un velours rouge. Lorsqu’il a été retrouvé disparu le jour de Badr, certaines personnes ont dit ; Peut-être que le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) l’a pris. C’est pourquoi Allah, le Très-Haut, a fait descendre « Et aucun prophète ne peut mentir à sa confiance » à la fin du verset.
Abou Dawud a dit : Dans le mot yaghulla, la lettre ya a une voyelle courte a.
Ô Allah, je cherche refuge en Toi pour échapper à la mesquinerie et à la vieillesse.
Je suis venu dans la délégation des Banu al-Muntafiq auprès du Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم). Il a ensuite raconté le reste de la tradition. Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : la tahsibanna (ne pense pas) et n’a pas dit : la tahsabanna (ne pense pas).
Les musulmans rencontrèrent un homme avec quelques brebis à lui. Il dit : « Que la paix soit sur vous. » Mais ils l’ont tué et ont pris ces quelques brebis. C’est alors que le verset coranique suivant a été révélé : « ... Et dis à celui qui te salue : Tu n’es pas croyant, et tu convoites les biens périssables de cette vie.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) avait l’habitude de lire : « Les croyants qui s’assoient (à la maison) et ne reçoivent aucun mal ne sont pas égaux (ghayru ulid-darari) mais le narrateur Sa’id n’a pas dit les mots « avait l’habitude de lire »
Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a lu le verset : « œil pour œil » (al-'aynu bil-'ayn).
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a lu le verset : « Nous y avons ordonné : Vie pour vie et œil pour œil (an-nafsa bin-nafsi wal-'aynu bil-'ayn).
Atiyyah ibn Sa’d al-Awfi a dit : « J’ai récité à Abdullah ibn Umar le verset : « C’est Allah qui t’a créé dans un état de faiblesse (min da’f) ». Il a dit : (Lire) min du’f. Je l’ai récité au Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) comme tu me l’as récité, et il m’a saisi comme je t’ai saisi.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a lu le verset mentionné ci-dessus, « min du’f ».
« Dis : « Que la bonté d’Allah et Sa miséricorde vous réjouissent en cela. »
Ubayy ibn Ka’b) a dit : « Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a lu le verset : « Dis : « En la bonté d’Allah et en Sa miséricorde, en cela vous a permis de vous réjouir, cela vaut mieux que les richesses que vous avez amassées. »
Elle a entendu le Prophète (صلى الله عليه وسلم) lire le verset : « Il a agi injustement. » (Innahu 'Amila Ghayra Salih).
Shahr ibn Hawshab a dit : « J’ai demandé à Umm Salamah : Comment le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) a-t-il lu ce verset : « Car sa conduite est injuste (innahu 'amalun ghayru salih ». Elle répondit : Il lut : « Il a agi injustement » (innahu 'amila ghayra salih).
Abou Dawoud a dit : « Cette tradition a été transmise par Haroun al-Nahwi et Moussa b. Khalaf de Thabit tel que rapporté par le narrateur 'Abd al-Aziz.
Lorsque le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) priait, il commençait par lui-même et disait : « Que la miséricorde d’Allah soit sur nous et sur Moïse. S’il avait eu de la patience, il aurait vu des merveilles de la part de son Compagnon. Mais il dit : « (Moïse) a dit : Si jamais je t’interroge sur quoi que ce soit après cela, ne me tiens pas avec eux ; alors tu aurais reçu de mon côté une excuse ». Hamzah l’allongea.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a lu le verset coranique : « Tu as reçu de moi (pleinement) l’excuse (min ladunni) » et a mis tashdid (doublement des consonnes) sur nun (n).
Ubayy ibn Ka’b m’a fait lire le verset suivant comme le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) lui a fait lire : « dans une source d’eau trouble » (fi 'aynin hami’atin) avec la voyelle courte a après h.
Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : Un homme de l’Illiyyun regardera vers le bas les gens du Paradis et le Paradis brillera comme s’il s’agissait d’une étoile brillante.
Il (le narrateur) a dit : « C’est ainsi que le mot durri (brillant) apparaît dans cette tradition, c’est-à-dire que la lettre dal (d) a une voyelle courte u et qu’elle n’a pas de hamzah ('). AbuBakr et Umar seront parmi eux et auront quelques bénédictions supplémentaires.