حَدَّثَنَا دَاوُدُ بْنُ رُشَيْدٍ، حَدَّثَنَا الْوَلِيدُ، عَنِ الأَوْزَاعِيِّ، أَنَّهُ سَمِعَ حِصْنًا، أَنَّهُ سَمِعَ أَبَا سَلَمَةَ، يُخْبِرُ عَنْ عَائِشَةَ، رضى الله عنها عَنْ رَسُولِ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم أَنَّهُ قَالَ " عَلَى الْمُقْتَتِلِينَ أَنْ يَنْحَجِزُوا الأَوَّلَ فَالأَوَّلَ وَإِنْ كَانَتِ امْرَأَةً " . قَالَ أَبُو دَاوُدَ بَلَغَنِي أَنَّ عَفْوَ النِّسَاءِ فِي الْقَتْلِ جَائِزٌ إِذَا كَانَتْ إِحْدَى الأَوْلِيَاءِ وَبَلَغَنِي عَنْ أَبِي عُبَيْدٍ فِي قَوْلِهِ " يَنْحَجِزُوا " . يَكُفُّوا عَنِ الْقَوَدِ .
Traduction
Rapporté par Aïcha, Ummul Mu’minin
Le Prophète (ﷺ) a dit : « Les contestataires doivent s’abstenir de prendre des représailles. Celui qui est le plus proche doit pardonner en premier, puis celui qui est à côté de lui, même si (celui qui pardonne) était une femme.
Abou Dawoud a dit : « J’ai été informé que le pardon des femmes dans le cas d’un meurtre est permis si une femme est l’une des héritières (des tués). On m’a dit sur l’autorité d’Abu 'Ubaid la signification du mot yanhajizu, c’est-à-dire qu’ils devraient s’abstenir de représailles.