حَدَّثَنَا مُوسَى بْنُ إِسْمَاعِيلَ، حَدَّثَنَا حَمَّادٌ، أَخْبَرَنَا مُحَمَّدُ بْنُ إِسْحَاقَ، عَنِ الْحَارِثِ بْنِ فُضَيْلٍ، عَنْ سُفْيَانَ بْنِ أَبِي الْعَوْجَاءِ، عَنْ أَبِي شُرَيْحٍ الْخُزَاعِيِّ، أَنَّ النَّبِيَّ صلى الله عليه وسلم قَالَ ‏"‏ مَنْ أُصِيبَ بِقَتْلٍ أَوْ خَبْلٍ فَإِنَّهُ يَخْتَارُ إِحْدَى ثَلاَثٍ إِمَّا أَنْ يَقْتَصَّ وَإِمَّا أَنْ يَعْفُوَ وَإِمَّا أَنْ يَأْخُذَ الدِّيَةَ فَإِنْ أَرَادَ الرَّابِعَةَ فَخُذُوا عَلَى يَدَيْهِ وَمَنِ اعْتَدَى بَعْدَ ذَلِكَ فَلَهُ عَذَابٌ أَلِيمٌ ‏"‏ ‏.‏
Traduction
Rapporté par Wa’il ibn Hujr

J’étais avec le Prophète (ﷺ) quand un homme qui était un meurtrier et qui avait une courroie autour du cou lui a été amené.

Il a alors appelé le tuteur légal de la victime et lui a demandé : Lui pardonnez-vous ?

Il a dit : Non. Il demanda : « Accepterez-vous le prix du sang ? » Il a dit : Non. Il demanda : « Allez-vous le tuer ? » Il a dit : Oui. Il a dit : Emmenez-le. Quand il lui tourna le dos, il dit : « Lui pardonnes-tu ? Il a dit : Non. Il dit : « Accepterez-vous le prix du sang ? Il a dit : Non. Il dit : « Allez-vous le tuer ? Il a dit : Oui. Il a dit : Emmenez-le. Après avoir répété tout cela une quatrième fois, il dit : Si vous lui pardonnez, il portera le fardeau de son propre péché et du péché de la victime. Il lui pardonna alors. Il (le narrateur) a dit : Je l’ai vu tirer la sangle.