حَدَّثَنَا إِسْمَاعِيلُ بْنُ خَلِيلٍ، أَخْبَرَنَا عَلِيُّ بْنُ مُسْهِرٍ، أَخْبَرَنَا يَحْيَى بْنُ سَعِيدٍ، أَخْبَرَنَا عَبْدُ اللَّهِ بْنُ عَامِرِ بْنِ رَبِيعَةَ، قَالَ سَمِعْتُ عَائِشَةَ ـ رضى الله عنها ـ تَقُولُ كَانَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم سَهِرَ فَلَمَّا قَدِمَ الْمَدِينَةَ قَالَ ‏"‏ لَيْتَ رَجُلاً مِنْ أَصْحَابِي صَالِحًا يَحْرُسُنِي اللَّيْلَةَ ‏"‏‏.‏ إِذْ سَمِعْنَا صَوْتَ سِلاَحٍ فَقَالَ ‏"‏ مَنْ هَذَا ‏"‏‏.‏ فَقَالَ أَنَا سَعْدُ بْنُ أَبِي وَقَّاصٍ، جِئْتُ لأَحْرُسَكَ‏.‏ وَنَامَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم‏.‏
Traduction
Rapporté par Abu Huraira

Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Que l’esclave du dinar et du dirham, de la quantification et du khamisa périsse comme il est satisfait si ces choses lui sont données, et sinon, il est mécontent. Qu’une telle personne périsse et retombe, et si elle est percée d’une épine, qu’elle ne trouve personne pour l’enlever à sa place. Le paradis est pour celui qui tient les rênes de son cheval pour lutter dans le sentier d’Allah, les cheveux négligés et les pieds couverts de poussière : s’il est nommé à l’avant-garde, il est parfaitement satisfait de son poste de garde, et s’il est nommé à l’arrière, il accepte son poste avec satisfaction. (Il est si simple et si sans ambiguïté que) s’il demande la permission, il n’est pas autorisé, et s’il intercède, son intercession n’est pas acceptée.