حَدَّثَنَا قُتَيْبَةُ، حَدَّثَنَا عَبْدُ الْعَزِيزِ، عَنْ أَبِي حَازِمٍ، عَنْ سَهْلِ بْنِ سَعْدٍ ـ رضى الله عنه ـ قَالَ أُتِيَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم بِقَدَحٍ فَشَرِبَ وَعَنْ يَمِينِهِ غُلاَمٌ، هُوَ أَحْدَثُ الْقَوْمِ، وَالأَشْيَاخُ عَنْ يَسَارِهِ قَالَ ‏"‏ يَا غُلاَمُ أَتَأْذَنُ لِي أَنْ أُعْطِيَ الأَشْيَاخَ ‏"‏‏.‏ فَقَالَ مَا كُنْتُ لأُوثِرَ بِنَصِيبِي مِنْكَ أَحَدًا يَا رَسُولَ اللَّهِ‏.‏ فَأَعْطَاهُ إِيَّاهُ‏.‏
Copier
Rapporté par Ibn 'Abbas

Le Prophète (ﷺ) a dit : « Qu’Allah soit miséricordieux envers la mère d’Ismaël ! Si elle avait laissé l’eau de Zamzam (fontaine) telle qu’elle était, (sans construire de bassin pour garder l’eau), (ou si elle avait dit : « Si elle n’avait pas pris des poignées de son eau »), cela aurait été un ruisseau qui coule. Des Jurhum (une tribu arabe) vinrent lui demander : « Pouvons-nous nous installer chez toi ? » Elle a dit : « Oui, mais tu n’as pas le droit de posséder l’eau. » Ils ont accepté.