حَدَّثَنَا شِهَابُ بْنُ عَبَّادٍ، حَدَّثَنَا إِبْرَاهِيمُ بْنُ حُمَيْدٍ، عَنْ إِسْمَاعِيلَ، عَنْ قَيْسٍ، عَنْ عَبْدِ اللَّهِ، قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم " لاَ حَسَدَ إِلاَّ فِي اثْنَتَيْنِ رَجُلٌ آتَاهُ اللَّهُ مَالاً فَسُلِّطَ عَلَى هَلَكَتِهِ فِي الْحَقِّ، وَآخَرُ آتَاهُ اللَّهُ حِكْمَةً فَهْوَ يَقْضِي بِهَا وَيُعَلِّمُهَا ".
Traduction
Rapporté par Al-Mughira bin Shu’ba
'Umar bin Al-Khattab a interrogé (les gens) sur les Imlas d’une femme, c’est-à-dire une femme qui avorte parce qu’elle a été frappée à l’abdomen, en disant : « Qui d’entre vous a entendu parler de cela de la part du Prophète ? » J’ai dit : « Je l’ai fait. » Il a dit : « Qu’est-ce que c’est ? » J’ai dit : « J’ai entendu le Prophète dire : « Son Diya (prix du sang) est soit un esclave, soit un esclave. » Omar dit : « Ne pars pas avant d’avoir présenté un témoin à l’appui de ta déclaration. » Je suis donc sorti et j’ai trouvé Mohammed ben Maslama. Je l’ai amené et il m’a témoigné qu’il avait entendu le Prophète (ﷺ) dire : « Son Diya (prix du sang) est soit un esclave, soit une esclave femelle. »