حَدَّثَنَا أَبُو مُصْعَبٍ الْمَدَنِيُّ، حَدَّثَنَا عَبْدُ الرَّحْمَنِ بْنُ زَيْدِ بْنِ أَسْلَمَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنْ عَطَاءِ بْنِ يَسَارٍ، عَنْ أَبِي سَعِيدٍ الْخُدْرِيِّ، أَنَّ النَّبِيَّ ـ صلى الله عليه وسلم ـ سُئِلَ عَنِ الْحِيَاضِ الَّتِي بَيْنَ مَكَّةَ وَالْمَدِينَةِ تَرِدُهَا السِّبَاعُ وَالْكِلاَبُ وَالْحُمُرُ وَعَنِ الطَّهَارَةِ مِنْهَا فَقَالَ " لَهَا مَا حَمَلَتْ فِي بُطُونِهَا وَلَنَا مَا غَبَرَ طَهُورٌ " .
Traduction
D’après Abou Saïd Al-Khudri, on peut lire que
Le Prophète a été interrogé sur les bassins d’eau situés entre La Mecque et Médine, qui étaient visités par des animaux sauvages, des chiens et des ânes, et sur leur utilisation comme moyens de purification. Il a dit : « Tout ce qu’ils (les animaux) ont porté dans leur ventre est pour eux, et tout ce qui reste est pour nous, et il est pur. »