حَدَّثَنَا أَبُو بَكْرِ بْنُ أَبِي شَيْبَةَ، حَدَّثَنَا وَكِيعٌ، عَنِ ابْنِ أَبِي ذِئْبٍ، عَنْ عَبْدِ الرَّحْمَنِ بْنِ مِهْرَانَ، عَنْ عَبْدِ الرَّحْمَنِ بْنِ سَعْدٍ، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ ـ صلى الله عليه وسلم ـ " الأَبْعَدُ فَالأَبْعَدُ مِنَ الْمَسْجِدِ أَعْظَمُ أَجْرًا " .
Traduction
Il a été rapporté qu’Ubayy bin Ka’b a dit
« Il y avait un homme parmi les Ansar dont la maison était la plus éloignée d’Al-Madinah, mais il ne manquait jamais la prière avec le Messager d’Allah. J’eus pitié de lui et lui dis : « Ô untel, pourquoi n’achetez-vous pas un âne pour vous épargner la chaleur du sable brûlant, pour transporter sur le sol caillouteux et pour vous éloigner de la vermine sur le sol ? » Il a dit : « Par Allah ! Je ne veux pas vivre si près de Mahomet. Cela m’a troublé jusqu’à ce que j’arrive à la maison du Prophète et que je lui en parle. Il appela (l’homme) et lui demanda, et il dit quelque chose de semblable, et dit qu’il espérait la récompense pour ses pas. Le Messager d’Allah dit : « Tu auras ce que tu cherchais. »