La mort serait entraînée le jour de la résurrection. sous la forme d'un bélier de couleur blanche. Abu Kuraib a fait cet ajout: alors il serait fait de se tenir entre le paradis et l'enfer. En ce qui concerne le reste des Hadiths, il y a un accord parfait (entre les deux narrateurs) et il serait dit aux détenus du paradis: reconnaissez-vous cela? Ils élevaient le cou et regardaient vers lui et disaient: oui: «C'est la mort. Ensuite, il serait dit aux détenus de l'enfer .. reconnaissez-vous cela? Et ils élevaient le cou et regardaient et disaient: oui, c'est la mort. Ensuite, la commande serait donnée pour l'abattage et ensuite il serait dit: 0 détenus du paradis, il y a une vie éternelle pour vous et pas de mort. Et puis (s'adressant) aux détenus de l'enfer, il serait dit: 0 détenus de l'enfer, il y a une vie éternelle pour vous et pas de mort. Le messager d'Allah (que la paix soit u @ sur lui) a ensuite récité ce verset pointant avec sa main vers ce monde (matériel): "avertissez-les, ce jour de consternation, et quand leurs affaires seraient décidées et qu'ils seraient intentionnels et Ils ne croient pas "(xix. 39).
Le Livre du Paradis, sa Description, ses Bienfaits et ses Habitants - Sahih Muslim 2849 a
Cette narration profonde de Sahih Muslim décrit l'abattage symbolique de la mort au Jour du Jugement, marquant la séparation éternelle entre la félicité du Paradis et le tourment de l'Enfer.
Commentaire Savant sur le Bélier de la Mort
La représentation de la mort comme un bélier blanc signifie la pureté dans le jugement divin et la réalité tangible des concepts abstraits dans l'Au-delà. Le blanc symbolise la clarté et la vérité manifestées devant toute la création.
Le positionnement entre le Paradis et l'Enfer démontre le rôle de la mort comme barrière finale entre les destinations éternelles. La reconnaissance mutuelle par les deux groupes confirme l'expérience universelle de la mort et son ultime cessation.
Conséquences Éternelles de l'Abattage
L'abattage signifie une finalité absolue - les habitants du Paradis reçoivent la vie éternelle sans l'ombre de la mort, tandis que les habitants de l'Enfer font face à une existence perpétuelle dans le tourment, où la mort devient une miséricorde impossible.
La récitation par le Prophète du verset 39 de la sourate Maryam relie cette scène à l'insouciance mondaine, soulignant comment l'incrédulité mène à cette séparation éternelle où la cessation de la mort apporte soit une joie sans fin, soit un désespoir sans fin.