« Ô Messager d’Allah ! (Et qu’en est-il) de la Fara' ? Il a dit : « C’est un devoir, mais si tu le laisses (l’animal) jusqu’à ce qu’il soit à moitié adulte et que tu le charges (dans le Jihad) dans le sentier d’Allah ou que tu le donnes à une veuve, c’est mieux que si tu l’égorges (alors qu’il vient de naître) et que sa chair est difficile à séparer de sa peau. Alors tu retournes ton vase (parce que tu ne pourras plus obtenir de lait de la mère) et tu causes le deuil de ta chamelle (de la perte de ses petits)." Ils dirent : « Ô Messager d’Allah, qu’en est-il de l’Atirah ? » Il a dit : « L’Atirah est un devoir. » (Hasan) Abou 'Abdur-Rahman (An-Nasa’i) a dit : Abou 'Ali Al-Hanafi (l’un des narrateurs) ; ils sont quatre frères : l’un est Abou Bakr, et Bishr, et Sharik, et l’autre.