حَدَّثَنَا زُهَيْرُ بْنُ حَرْبٍ، وَعُثْمَانُ بْنُ أَبِي شَيْبَةَ، قَالاَ حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ الْفُضَيْلِ، عَنْ مُغِيرَةَ، عَنْ أُمِّ مُوسَى، عَنْ عَلِيٍّ، عَلَيْهِ السَّلاَمُ قَالَ كَانَ آخِرُ كَلاَمِ رَسُولِ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم ‏"‏ الصَّلاَةَ الصَّلاَةَ اتَّقُوا اللَّهَ فِيمَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ ‏"‏ ‏.‏
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Rapporté par Mu’awiyah ibn Suwayd ibn Muqarrin

J’ai giflé un de nos esclaves affranchis. Mon père nous a appelés, lui et moi, et nous a dit : Prends soin de lui. Nous, les gens de Banu Muqarrin, étions sept à l’époque du Prophète (ﷺ), et nous n’avions qu’une servante. Un d’entre nous l’a giflée. Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Libère-la. » Ils dirent : « Nous n’avons pas d’autre servante qu’elle. Il dit : « Elle doit les servir jusqu’à ce qu’ils soient riches. » Lorsqu’ils seront à l’aise, ils devraient la libérer.