حَدَّثَنَا الْحَسَنُ بْنُ عَلِيٍّ، حَدَّثَنَا سُلَيْمَانُ بْنُ حَرْبٍ، عَنْ حَمَّادِ بْنِ زَيْدٍ، قَالَ قُلْتُ لأَيُّوبَ هَلْ تَعْلَمُ أَحَدًا قَالَ بِقَوْلِ الْحَسَنِ فِي أَمْرُكِ بِيَدِكِ ‏.‏ قَالَ لاَ إِلاَّ شَىْءٌ حَدَّثَنَاهُ قَتَادَةُ عَنْ كَثِيرٍ مَوْلَى ابْنِ سَمُرَةَ عَنْ أَبِي سَلَمَةَ عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم بِنَحْوِهِ قَالَ أَيُّوبُ فَقَدِمَ عَلَيْنَا كَثِيرٌ فَسَأَلْتُهُ فَقَالَ مَا حَدَّثْتُ بِهَذَا قَطُّ فَذَكَرْتُهُ لِقَتَادَةَ فَقَالَ بَلَى وَلَكِنَّهُ نَسِيَ ‏.‏
Traduction
Hammad ibn Zayd a dit

J’ai demandé à Ayyoub : « Connaissez-vous quelqu’un qui raconte la tradition rapportée par Al-Hasan sur le fait de prononcer les paroles (s’adressant à la femme) ? « Votre affaire est entre vos mains » ? Il répondit : Non, sauf quelque chose de similaire transmis par Qatadah de la part de Kathir, le client du Samurah, d’AbuSalamah sur l’autorité d’AbuHurayrah du Prophète (صلى الله عليه وسلم). Ayyoub dit : « Kathir vint alors à nous ; alors je lui ai demandé (à ce sujet). Il a répondu : Je ne l’ai jamais raconté. J’en ai parlé à Qatadah qui a dit : Oui (il l’a raconté) mais il a oublié.