حَدَّثَنَا يَعْقُوبُ بْنُ إِبْرَاهِيمَ، حَدَّثَنَا مُعْتَمِرٌ، عَنْ سَلْمٍ، - يَعْنِي ابْنَ أَبِي الذَّيَّالِ - حَدَّثَنِي بَعْضُ، أَصْحَابِنَا عَنْ سَعِيدِ بْنِ جُبَيْرٍ، عَنِ ابْنِ عَبَّاسٍ، أَنَّهُ قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم ‏"‏ لاَ مُسَاعَاةَ فِي الإِسْلاَمِ مَنْ سَاعَى فِي الْجَاهِلِيَّةِ فَقَدْ لَحِقَ بِعَصَبَتِهِ وَمَنِ ادَّعَى وَلَدًا مِنْ غَيْرِ رِشْدَةٍ فَلاَ يَرِثُ وَلاَ يُورَثُ ‏"‏ ‏.‏
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'Amr b. Shu’aib, sur l’autorité de son père, a dit que son grand-père avait rapporté

S’il était l’enfant d’une esclave que le père ne possédait pas ou d’une femme libre avec laquelle il avait des rapports illicites, il n’était pas uni aux héritiers et n’héritait pas, même si celui à qui il était attribué est celui qui en revendiquait la paternité, puisqu’il était un enfant de la fornication, que sa mère soit libre ou esclave.