حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ عَمْرِو بْنِ جَبَلَةَ بْنِ أَبِي رَوَّادٍ، حَدَّثَنِي حَرَمِيُّ بْنُ عُمَارَةَ، عَنْ عُبَيْدِ اللَّهِ بْنِ النَّضْرِ، حَدَّثَنِي أَبِي قَالَ، كَانَتْ ظُلْمَةٌ عَلَى عَهْدِ أَنَسِ بْنِ مَالِكٍ - قَالَ - فَأَتَيْتُ أَنَسًا فَقُلْتُ يَا أَبَا حَمْزَةَ هَلْ كَانَ يُصِيبُكُمْ مِثْلُ هَذَا عَلَى عَهْدِ رَسُولِ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم قَالَ مَعَاذَ اللَّهِ إِنْ كَانَتِ الرِّيحُ لَتَشْتَدُّ فَنُبَادِرُ الْمَسْجِدَ مَخَافَةَ الْقِيَامَةِ .
Traduction
Rapporté par Anas ibn Malik
Ubaydullah ibn an-Nadr a rapporté l’autorité de son père : « Les ténèbres régnaient à l’époque d’Anas ibn Malik, je suis venu vers Anas et je lui ai dit : « AbuHamzah, est-ce que quelque chose de semblable t’est arrivé à l’époque du Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) ? Il répondit : « Prends refuge en Allah. » Si le vent soufflait violemment, nous courrions rapidement vers la mosquée de peur de l’arrivée du Jour du Jugement.