حَدَّثَنَا حَفْصُ بْنُ عُمَرَ، حَدَّثَنَا شُعْبَةُ، عَنْ بُدَيْلٍ، عَنْ عَلِيِّ بْنِ أَبِي طَلْحَةَ، عَنْ رَاشِدِ بْنِ سَعْدٍ، عَنْ أَبِي عَامِرٍ الْهَوْزَنِيِّ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ لُحَىٍّ، عَنِ الْمِقْدَامِ، قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم " مَنْ تَرَكَ كَلاًّ فَإِلَىَّ " . وَرُبَّمَا قَالَ " إِلَى اللَّهِ وَإِلَى رَسُولِهِ " . " وَمَنْ تَرَكَ مَالاً فَلِوَرَثَتِهِ وَأَنَا وَارِثُ مَنْ لاَ وَارِثَ لَهُ أَعْقِلُ لَهُ وَأَرِثُهُ وَالْخَالُ وَارِثُ مَنْ لاَ وَارِثَ لَهُ يَعْقِلُ عَنْهُ وَيَرِثُهُ " .
Traduction
Rapporté par Aïcha, Ummul Mu’minin
Un client du Prophète (ﷺ) est mort et a laissé des biens, mais il n’a laissé aucun enfant ni parent. Le Messager d’Allah (ﷺ) a dit : « Donne ce qu’il lui reste à un homme de son village.
Abou Dawud a dit : « La tradition de Soufyan est plus parfaite. Moussaddad dit : « Sur quoi le Prophète (ﷺ) dit : Y a-t-il quelqu’un qui appartient à son pays ? Ils ont répondu : Oui. Il dit : « Donne-lui donc ce qui lui reste. »