Le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) campait à Ulat al-Jaysh et Aïcha était en sa compagnie. Son collier d’onyx de Zifar a été brisé (et est tombé quelque part). Les gens ont été arrêtés pour rechercher ce collier jusqu’à l’aube. Il n’y avait pas d’eau avec les gens. C’est pourquoi AbouBakr se mit en colère contre elle et lui dit : « Tu as retenu les gens et ils n’ont pas d’eau avec eux. »
Sur ce, Allah, le Très-Haut, a envoyé une révélation à ce sujet à Son Messager (صلى الله عليه وسلم) accordant la concession de se purifier avec de la terre pure. Alors les musulmans se levèrent avec le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) et frappèrent le sol avec leurs mains, puis ils levèrent les mains, et ne prirent pas de terre (dans leurs mains). Puis ils s’essuyèrent le visage et les mains jusqu’aux épaules, et de leurs paumes jusqu’aux aisselles.
Ibn Yahya a ajouté dans sa version : Ibn Shihab a dit dans sa tradition : Les gens ne prennent pas en compte cette (tradition).
Abou Dawoud a dit : « Ibn Ishaq l’a également rapporté de la même manière. Dans cette version, il a dit sur l’autorité d’Ibn 'Abbas. Il a mentionné les mots « deux coups » (c’est-à-dire frapper la terre deux fois) comme mentionné par Yunus. Et Ma’mar a également rapporté sur l’autorité d’al-Zuhri « deux coups ». Et Malik dit : « D’après al-Zuhri, d’après 'Ubaid Allah, b. 'Abd Allah, d’après son père, sur l’autorité d’Ammar. Abu Uwais l’a également rapporté de la même manière sur l’autorité d’al-Zuhri. Mais Ibn 'Uyainah en doutait, il disait parfois : de son père, et parfois il disait : d’Ibn 'Abbas. Ibn 'Uyainah était confus dans cette lettre et dans son écoute d’al-Zuhri. Personne n’a mentionné les « deux grèves » dans cette tradition, sauf ceux dont j’ai mentionné les noms.