حَدَّثَنَا أَحْمَدُ بْنُ يُونُسَ، حَدَّثَنَا زُهَيْرٌ، حَدَّثَنَا هِشَامُ بْنُ عُرْوَةَ، عَنْ عُرْوَةَ، عَنْ عَائِشَةَ، أَنَّ هِنْدًا أُمَّ مُعَاوِيَةَ، جَاءَتْ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَقَالَتْ إِنَّ أَبَا سُفْيَانَ رَجُلٌ شَحِيحٌ وَإِنَّهُ لاَ يُعْطِينِي مَا يَكْفِينِي وَبَنِيَّ فَهَلْ عَلَىَّ جُنَاحٌ أَنْ آخُذَ مِنْ مَالِهِ شَيْئًا قَالَ " خُذِي مَا يَكْفِيكِ وَبَنِيكِ بِالْمَعْرُوفِ " .
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Rapporté par Yusuf ibn Malik al-Makki
J’avais l’habitude d’écrire (le compte de) les dépenses engagées pour les orphelins qui étaient sous la tutelle d’untel. Ils l’ont trompé de mille dirhams et il les a payés (cette somme) à eux. J’ai alors obtenu le double de la propriété qu’ils méritaient. J’ai dit (à l’homme : Prends mille (dirhams) qu’ils t’ont pris. Il dit : « Non, mon père m’a dit qu’il a entendu le Messager d’Allah (صلى الله عليه وسلم) dire : « Verse le dépôt à celui qui l’a déposé chez toi, et ne trahis pas celui qui te trahit. »