حَدَّثَنَا أَحْمَدُ بْنُ حَنْبَلٍ، وَيَحْيَى بْنُ مَعِينٍ، قَالاَ حَدَّثَنَا سُفْيَانُ، عَنْ حُمَيْدٍ الأَعْرَجِ، عَنْ سُلَيْمَانَ بْنِ عَتِيقٍ، عَنْ جَابِرِ بْنِ عَبْدِ اللَّهِ، أَنَّ النَّبِيَّ صلى الله عليه وسلم نَهَى عَنْ بَيْعِ السِّنِينَ وَوَضَعَ الْجَوَائِحَ . قَالَ أَبُو دَاوُدَ لَمْ يَصِحَّ عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم فِي الثُّلُثِ شَىْءٌ وَهُوَ رَأْىُ أَهْلِ الْمَدِينَةِ .
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Rapporté par Jabir ibn Abdullah
Le Prophète (ﷺ) a interdit de vendre des fruits des années à l’avance et a ordonné que les pertes imprévues soient remises en ce qui concerne ce qui est affecté par le fléau.
Abou Dawoud a dit : « L’attribution de la tradition concernant l’effet du fléau est d’un tiers de la production au Prophète (ﷺn’est pas correcte. C’est l’avis des habitants de Médine.