حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ الْمُثَنَّى، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا حَمَّادُ بْنُ بَشِيرٍ الْجَهْضَمِيُّ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا عُمَارَةُ الْمَعْوَلِيُّ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ سِيرِينَ، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ قَالَ‏:‏ يَكُونُ فِي آخِرِ الزَّمَانِ مَجَاعَةٌ، مَنْ أَدْرَكَتْهُ فَلاَ يَعْدِلَنَّ بِالأَكْبَادِ الْجَائِعَةِ‏.‏
Traduction

'Abdullah ibn 'Umar a rapporté que 'Umar ibn al-Khattab a parlé pendant l’année de la sécheresse*, qui a été une année sévère et désastreuse, après que 'Umar ait fait de son mieux pour aider les Bédouins avec des chameaux, du blé et de l’huile des champs au point que tous les champs ont été asséchés à la suite de ces efforts. il s’est levé pour implorer en disant : « Ô Allah ! Pourvoiez-les au sommet des montagnes ! Allah a répondu à cette supplication pour lui et pour les musulmans. Lorsqu’il tomba une pluie abondante, il dit : « Louange à Allah ! Par Allah, si Allah ne nous avait pas soulagés, je n’aurais pas laissé les gens de la maison d’un musulman riches sans mettre avec lui un nombre égal de pauvres. Deux ne mourront pas avec de la nourriture qui soutiendra une seule personne.