حَدَّثَنَا سُلَيْمَانُ بْنُ حَرْبٍ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا شُعْبَةُ، عَنْ أَبِي إِسْحَاقَ، عَنْ أَبِي الأَحْوَصِ، عَنْ عَبْدِ اللهِ قَالَ‏:‏ إِذَا دُعِيَ الرَّجُلُ فَقَدْ أُذِنَ لَهُ‏.‏
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Abu’l-'Alaniyya dit : « Je suis venu voir Abou Sa’id al-Khudri et je l’ai salué, mais il ne m’a pas donné la permission. Puis je l’ai salué à nouveau et il ne m’a pas donné la permission. Puis je l’ai salué une troisième fois, en élevant la voix et en lui disant : « Que la paix soit sur vous, gens de la maison », et il ne m’en a pas donné la permission. Puis je me suis mis à l’écart et je me suis assis. Un esclave est sorti vers moi et m’a dit : « Entre. » Je suis entré et Abou Sa’id m’a dit : « Si tu l’avais dit plus de fois, je ne t’aurais pas donné la permission. » Je lui ai posé des questions sur les récipients (c’est-à-dire ceux utilisés pour le vin) et d’autres choses. Il a dit : « Haram. » Je lui ai posé des questions sur une vieille peau de lait transformée en seau pour la fermentation. « Haram », a-t-il dit.