حَدَّثَنَا عَبْدُ اللهِ بْنُ صَالِحٍ قَالَ‏:‏ حَدَّثَنِي اللَّيْثُ قَالَ‏:‏ حَدَّثَنِي عُقَيْلٌ، عَنِ ابْنِ شِهَابٍ قَالَ‏:‏ أَخْبَرَنِي عَبْدُ الرَّحْمَنِ بْنُ عَبْدِ اللهِ بْنِ كَعْبِ بْنِ مَالِكٍ، أَنَّ عَبْدَ اللهِ بْنَ كَعْبٍ، وَكَانَ قَائِدَ كَعْبٍ مِنْ بَنِيهِ حِينَ عَمِيَ، قَالَ‏:‏ سَمِعْتُ كَعْبَ بْنَ مَالِكٍ يُحَدِّثُ حَدِيثَهُ حِينَ تَخَلَّفَ عَنْ رَسُولِ اللهِ صلى الله عليه وسلم عَنْ غَزْوَةِ تَبُوكَ، فَتَابَ اللَّهُ عَلَيْهِ‏:‏ وَآذَنَ رَسُولُ اللهِ صلى الله عليه وسلم بِتَوْبَةِ اللهِ عَلَيْنَا حِينَ صَلَّى صَلاَةَ الْفَجْرَ، فَتَلَقَّانِي النَّاسُ فَوْجًا فَوْجًا، يُهَنُّونِي بِالتَّوْبَةِ يَقُولُونَ‏:‏ لِتَهْنِكَ تَوْبَةُ اللهِ عَلَيْكَ، حَتَّى دَخَلْتُ الْمَسْجِدَ، فَإِذَا بِرَسُولِ اللهِ صلى الله عليه وسلم حَوْلَهُ النَّاسُ، فَقَامَ إِلَيَّ طَلْحَةُ بْنُ عُبَيْدِ اللهِ يُهَرْوِلُ، حَتَّى صَافَحَنِي وَهَنَّانِي، وَاللَّهِ مَا قَامَ إِلَيَّ رَجُلٌ مِنَ الْمُهَاجِرِينَ غَيْرُهُ، لا أَنْسَاهَا لِطَلْحَةَ‏.‏
Traduction

'Aïcha, Umm al-Mu’minin, a dit : « Je n’ai vu personne qui ressemblait plus au Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) en paroles, en paroles ou en paroles ou en manière de s’asseoir que Fátima. » Aïcha poursuivit : « Lorsque le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) vit qu’elle était venue, il la salua, puis il se leva pour elle, l’embrassa, lui prit la main et l’amena en avant et la fit asseoir à sa place. Lorsque le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) lui rendit visite, elle le salua, le défendit et l’embrassa. Elle est venue au Prophète, qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix, dans sa dernière maladie et il l’a saluée, l’a embrassée et lui a confié un secret. Elle a pleuré. Puis il lui confia autre chose et elle se mit à rire. J’ai dit aux femmes : « Je vois que cette femme est supérieure aux autres femmes, et pourtant elle est l’une d’entre elles. D’abord, elle a pleuré, puis elle a ri. Je lui ai demandé : « Qu’est-ce qu’il t’a dit ? » Elle a répondu : « Je dirais un secret. » Lorsque le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) est mort, Fátima a dit : « Il m’a confié : « Je meurs », alors j’ai pleuré. Puis il m’a confié : « Tu seras le premier de ma famille à me rejoindre », alors j’étais heureux et ravi de cela.