حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ يُوسُفَ، وَقَبِيصَةُ، قَالاَ: حَدَّثَنَا سُفْيَانُ، عَنْ حَبِيبِ بْنِ أَبِي ثَابِتٍ، عَنْ مَيْمُونِ بْنِ أَبِي شَبِيبٍ، عَنْ عَمَّارِ بْنِ يَاسِرٍ قَالَ: لاَ يَضْرِبُ أَحَدٌ عَبْدًا لَهُ وَهُوَ ظَالِمٌ لَهُ إِلاَّ أُقِيدَ مِنْهُ يَوْمَ الْقِيَامَةِ.
Traduction
Umm Salama a rapporté que le Prophète, qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix, était dans sa maison et a appelé une de ses esclaves et qu’elle a mis du temps à venir. La colère se lisait sur son visage. Umm Salama s’approcha du rideau et trouva l’esclave en train de jouer. Il avait un bâton de siwak avec lui et dit : « N’est-ce pas que je crains des représailles le jour de l’insurrection avec ce siwak ? »