حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ بُكَيْرٍ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا اللَّيْثُ، عَنْ عُقَيْلٍ، عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ عَلِيِّ بْنِ حُسَيْنٍ، أَنَّ حُسَيْنَ بْنَ عَلِيٍّ حَدَّثَهُ، عَنْ عَلِيٍّ رَضِيَ اللَّهُ عَنْهُ، أَنَّ رَسُولَ اللهِ صلى الله عليه وسلم طَرَقَهُ وَفَاطِمَةَ بِنْتَ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم، فَقَالَ‏:‏ أَلاَ تُصَلُّونَ‏؟‏ فَقُلْتُ‏:‏ يَا رَسُولَ اللهِ، إِنَّمَا أَنْفُسُنَا عِنْدَ اللهِ، فَإِذَا شَاءَ أَنْ يَبْعَثَنَا بَعَثَنَا، فَانْصَرَفَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم، وَلَمْ يَرْجِعْ إِلَيَّ شَيْئًا، ثُمَّ سَمِعْتُ وَهُوَ مُدْبِرٌ يَضْرِبُ فَخِذَهُ يَقُولُ‏:‏ ‏{‏وَكَانَ الإِنْسَانُ أَكْثَرَ شَيْءٍ جَدَلاً‏}‏‏.‏
Traduction

'Ali a rapporté que le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) a frappé à la porte d’Ali et de Fatima, la fille du Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix), et lui a dit : « Ne priez-vous pas ? » Ali dit : « J’ai dit : « Messager d’Allah, nos esprits sont avec Allah. Quand il voudra nous réveiller, nous nous réconcilierons. Le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) est parti sans rien me dire. Puis je l’ai entendu lui frapper la cuisse après avoir eu le dos tourné. Il a dit : « Plus que toute autre chose, l’homme est argumentatif. » (18

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