حَدَّثَنَا مُحَمَّدُ بْنُ كَثِيرٍ، قَالَ‏:‏ أَخْبَرَنَا سُفْيَانُ، عَنِ الأَعْمَشِ، عَنْ أَبِي عَمْرٍو الشَّيْبَانِيِّ، عَنْ أَبِي مَسْعُودٍ الأَنْصَارِيِّ قَالَ‏:‏ جَاءَ رَجُلٌ إِلَى النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم فَقَالَ‏:‏ إِنِّي أُبْدِعَ بِي فَاحْمِلْنِي، قَالَ‏:‏ لاَ أَجِدُ، وَلَكِنِ ائْتِ فُلاَنًا، فَلَعَلَّهُ أَنْ يَحْمِلَكَ، فَأَتَاهُ فَحَمَلَهُ، فَأَتَى النَّبِيَّ صلى الله عليه وسلم فَأَخْبَرَهُ، فَقَالَ‏:‏ مَنْ دَلَّ عَلَى خَيْرٍ فَلَهُ مِثْلُ أَجْرِ فَاعِلِهِ‏.‏
Traduction

Abou Mas’ud al-Ansari a dit : « Un homme est venu voir le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) et lui a dit : « Mon chameau est épuisé, donne-moi donc une monture. » Il a répondu : « Je n’en ai pas. Mais va chez untel et peut-être t’en donnera-t-il un. Il alla vers cet homme et lui donna une monture. Puis il retourna vers le Prophète (qu’Allah le bénisse et lui accorde la paix) et lui dit. Il a dit : « Celui qui guide vers le bien a la même récompense que celui qui le fait réellement. »