حَدَّثَنَا أَبُو نُعَيْمٍ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا عَمْرُو بْنُ عُثْمَانَ بْنِ عَبْدِ اللهِ بْنِ مَوْهَبٍ قَالَ‏:‏ سَمِعْتُ مُوسَى بْنَ طَلْحَةَ يَذْكُرُ، عَنْ أَبِي أَيُّوبَ الأَنْصَارِيِّ، أَنَّ أَعْرَابِيًّا عَرَضَ عَلَى النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم فِي مَسِيرِهِ، فَقَالَ‏:‏ أَخْبِرْنِي مَا يُقَرِّبُنِي مِنَ الْجَنَّةِ، وَيُبَاعِدُنِي مِنَ النَّارِ‏؟‏ قَالَ‏:‏ تَعْبُدُ اللَّهَ وَلاَ تُشْرِكْ بِهِ شَيْئًا، وَتُقِيمُ الصَّلاَةَ، وَتُؤْتِي الزَّكَاةَ، وَتَصِلُ الرَّحِمَ‏.‏
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Ibn 'Abbas a parlé de l’ayat, « Rendez à vos proches ce qui leur est dû, ainsi qu’aux très pauvres et aux voyageurs » (1726), et a dit : « Il commence par ordonner la plus pressante des cotisations obligatoires et Il nous dirige vers la meilleure action si nous avons de l’argent. Il dit

« Rendez à vos parents ce qui leur est dû, aux très pauvres et aux voyageurs. » Il nous enseigne aussi ce que nous pouvons dire si nous n’avons rien. Il dit : « Mais si tu te détournes d’eux, cherchant la miséricorde que tu espères de la part de ton Seigneur, alors parle-leur avec des paroles qui les soulagent » (17:28) sous la forme d’une excellente promesse. Les choses sont telles qu’elles sont, mais elles peuvent changer si Allah le veut. « Ne garde pas ta main enchaînée à ton cou » et ne donne rien, « mais n’étends pas l’un ou l’autre dans toute son étendue » et donne tout ce que tu as, « de sorte que tu restes là blâmé », car ceux qui viennent à toi plus tard et trouvent que tu n’as rien te blâmeront, « et démunis ». (17-29) Il dit : Celui à qui tu as tout donné t’a rendu pauvre.