حَدَّثَنَا عَبْدُ اللهِ بْنُ صَالِحٍ قَالَ‏:‏ حَدَّثَنِي مُوسَى بْنُ عَلِيٍّ، عَنْ أَبِيهِ، عَنْ عَمْرِو بْنِ الْعَاصِ قَالَ‏:‏ عَجِبْتُ مِنَ الرَّجُلِ يَفِرُّ مِنَ الْقَدَرِ وَهُوَ مُوَاقِعُهُ، وَيَرَى الْقَذَاةَ فِي عَيْنِ أَخِيهِ وَيَدَعُ الْجِذْعَ فِي عَيْنِهِ، وَيُخْرِجُ الضَّغْنَ مِنْ نَفْسِ أَخِيهِ وَيَدَعُ الضَّغْنَ فِي نَفْسِهِ، وَمَا وَضَعْتُ سِرِّي عِنْدَ أَحَدٍ فَلُمْتُهُ عَلَى إِفْشَائِهِ، وَكَيْفَ أَلُومُهُ وَقَدْ ضِقْتُ بِهِ ذَرْعًا‏؟‏‏.‏
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'Amr ibn al-'As a dit : « Je suis étonné d’un homme qui fuit le destin alors qu’il l’attaque tout le temps et qui voit la paille dans l’œil de son frère et non la trompe dans son propre œil. Il découvre la rancœur dans le cœur de son frère et non la rancœur en lui-même. Je n’ai jamais confié à quelqu’un un de mes secrets et je l’ai ensuite blâmé pour l’avoir divulgué. Comment pourrais-je lui en vouloir alors que je lui ai donné quelque chose qu’il est incapable de faire ?