حَدَّثَنَا حَجَّاجٌ، قَالَ: حَدَّثَنَا حَمَّادٌ هُوَ ابْنُ سَلَمَةَ، عَنْ سُلَيْمَانَ التَّيْمِيِّ، عَنْ سَعِيدٍ الْقَيْسِيِّ، عَنِ ابْنِ عَبَّاسٍ قَالَ: مَا مِنْ مُسْلِمٍ لَهُ وَالِدَانِ مُسْلِمَانِ يُصْبِحُ إِلَيْهِمَا مُحْتَسِبًا، إِلاَّ فَتْحَ لَهُ اللَّهُ بَابَيْنِ يَعْنِي: مِنَ الْجَنَّةِ وَإِنْ كَانَ وَاحِدًا فَوَاحِدٌ، وَإِنْ أَغْضَبَ أَحَدَهُمَا لَمْ يَرْضَ اللَّهُ عَنْهُ حَتَّى يَرْضَى عَنْهُ، قِيلَ: وَإِنْ ظَلَمَاهُ؟ قَالَ: وَإِنْ ظَلَمَاهُ.
Traduction
Ibn 'Abbas a dit : « Si un musulman obéit à Allah concernant ses parents, Allah lui ouvrira deux portes du jardin. S’il n’y a qu’un seul parent, une porte sera ouverte. Si l’un d’eux est en colère, Allah ne sera pas satisfait de lui tant que ce parent ne sera pas satisfait de lui. On lui a demandé : « Même s’ils lui font du tort ? » « Même s’ils lui font du tort », a-t-il répondu.