حَدَّثَنَا قَبِيصَةُ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا سُفْيَانُ، عَنْ سُهَيْلِ بْنِ أَبِي صَالِحٍ، عَنْ أَبِيهِ، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم قَالَ‏:‏ لاَ يَجْزِي وَلَدٌ وَالِدَهُ، إِلاَّ أَنْ يَجِدَهُ مَمْلُوكًا فَيَشْتَرِيَهُ فَيُعْتِقَهُ‏.‏
Traduction

Marwan avait l’habitude de faire d’Abu Hurayra son agent et il se trouvait à Dhu’l-Hulayfa. Sa mère était dans une maison et lui dans une autre. Quand il voulait sortir, il s’arrêtait à sa porte et lui disait : « Que la paix soit sur toi, mère, que la miséricorde d’Allah soit accordée à Dieu et qu’Il le bénisse. » Elle répondait : « Que la paix soit sur toi, mon fils, que la miséricorde d’Allah et Sa bénédiction soient sur toi. » Puis il dit : « Qu’Allah vous fasse miséricorde pour m’avoir élevé quand j’étais enfant. » Elle répondit : « Qu’Allah vous fasse miséricorde, car vous m’avez été dévoués quand j’étais vieille. » Chaque fois qu’il voulait entrer à l’intérieur, il faisait quelque chose de similaire.