حَدَّثَنَا عَمْرُو بْنُ مَرْزُوقٍ، قَالَ‏:‏ أَخْبَرَنَا عِمْرَانُ، عَنْ قَتَادَةَ، عَنْ سَعِيدِ بْنِ أَبِي الْحَسَنِ، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم قَالَ‏:‏ لَيْسَ شَيْءٌ أَكْرَمَ عَلَى اللهِ مِنَ الدُّعَاءِ‏.‏
Traduction

Maqil bin Yasar (ra) a dit qu’il est venu voir le Prophète (صلى الله عليه وسلم) avec Abou Bakr (ra). Il dit : « Ô Abou Bakr, le polythéisme pénètre dans ton peuple plus tranquillement (secrètement) que le mouvement des fourmis. » Abou Bakr demanda : « Y a-t-il une sorte de polythéisme en plus d’associer quoi que ce soit à Allah ? » Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : « Par celui qui a ma vie en son pouvoir, le polythéisme est plus caché que le mouvement des fourmis. Ne t’enseignerai-je pas quelque chose qui, si tu le dis, éliminera le petit ou le majeur (polythéisme) ? Il dit alors : « Dis : « Ô Allah ! Je me réfugie en toi, de peur que je ne t’associe quoi que ce soit pendant que je le sais, et je cherche ton pardon pour ce que je ne sais pas.