حَدَّثَنَا قَبِيصَةُ بْنُ عُقْبَةَ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا سُفْيَانُ، عَنْ عَلْقَمَةَ بْنِ مَرْثَدٍ، عَنِ الْقَاسِمِ بْنِ مُخَيْمِرَةَ، عَنْ عَبْدِ اللهِ بْنِ عَمْرٍو، عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم قَالَ‏:‏ مَا مِنْ أَحَدٍ يَمْرَضُ، إِلاَّ كُتِبَ لَهُ مِثْلُ مَا كَانَ يَعْمَلُ وَهُوَ صَحِيحٌ‏.‏
Traduction

Abu Hurayrah a dit que la fièvre s’est manifestée devant le Saint Prophète (صلى الله عليه وسلم). Il lui a dit : « Envoie-moi vers ces gens avec qui tu as un lien très profond. Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) l’a envoyé aux Ansar. La fièvre les saisit donc pendant six jours et six nuits. Leur état fiévreux devint très grave et le Prophète leur rendit visite chez eux. Thy s’est plaint de la fièvre et le Saint Prophète (صلى الله عليه وسلم) est allé dans chaque maison et a prié pour leur santé. Lorsqu’il revenait, l’une de leurs femmes le suivit et lui dit : « Par Celui qui t’a envoyé avec la vérité, je suis de l’ordre des Ansar et mon père est aussi de l’un des Ansar. Tout comme vous avez prié pour les Ansar, priez aussi pour moi. Le Prophète sg lui demanda : « Qu’est-ce que tu souhaites ? Si tu le souhaites, je prierai Allah pour qu’il t’accorde la santé, mais si tu es patient, le paradis est pour toi. Elle a dit : « Je supporterai (la fièvre) patiemment et je ne risquerai pas (ma chance de) être admise au paradis. »