حَدَّثَنَا قَبِيصَةُ بْنُ عُقْبَةَ، قَالَ‏:‏ حَدَّثَنَا سُفْيَانُ، عَنْ عَلْقَمَةَ بْنِ مَرْثَدٍ، عَنِ الْقَاسِمِ بْنِ مُخَيْمِرَةَ، عَنْ عَبْدِ اللهِ بْنِ عَمْرٍو، عَنِ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم قَالَ‏:‏ مَا مِنْ أَحَدٍ يَمْرَضُ، إِلاَّ كُتِبَ لَهُ مِثْلُ مَا كَانَ يَعْمَلُ وَهُوَ صَحِيحٌ‏.‏
Traduction

Abu Wail rapporte que quelqu’un a dit à Abu Nuhaylah (lorsqu’il était malade) : « Priez Allah. » Alors, il a fait cette supplication : « Ô Allah, diminue la maladie, mais ne diminue pas la récompense. » On lui demanda de nouveau d’implorer Allah et il dit : « Ô Allah, que je sois parmi les proches et que je fasse ma mère parmi les hoor (servantes du Paradis) ».