Les païens étaient de deux sortes en ce qui concerne leur relation avec le Prophète et les croyants. Certains d’entre eux étaient ceux avec lesquels le Prophète était en guerre et contre qui il avait l’habitude de se battre, et ils avaient l’habitude de le combattre ; les autres étaient ceux avec lesquels le Prophète (ﷺa conclu un traité, et le Prophète (ﷺ) ne les a pas combattus, ni ne l’ont combattu. Si une dame du premier groupe de païens émigre vers les musulmans, on ne lui demandera pas la main en mariage à moins qu’elle n’ait ses règles et qu’elle ne devienne ensuite pure. Quand elle serait pure, il lui serait permis de se marier, et si son mari émigre aussi avant qu’elle ne se marie, alors elle lui sera rendue. Si un esclave ou une esclave émigre d’eux vers les musulmans, alors ils seraient considérés comme des personnes libres (et non comme des esclaves) et ils auraient les mêmes droits que ceux accordés aux autres émigrés. Le narrateur a ensuite mentionné les païens impliqués avec les musulmans dans un traité, le même que dans la narration de Mujahid. Si un esclave mâle ou une esclave femelle émigre de païens qui ont conclu un traité avec les musulmans, ils ne seront pas renvoyés, mais leurs prix seront payés (aux païens).