حَدَّثَنَا عَبْدُ اللَّهِ بْنُ مُحَمَّدٍ، حَدَّثَنَا أَبُو عَامِرٍ عَبْدُ الْمَلِكِ بْنُ عَمْرٍو، حَدَّثَنَا إِبْرَاهِيمُ، عَنْ خَالِدٍ، عَنْ عِكْرِمَةَ، عَنِ ابْنِ عَبَّاسٍ، قَالَ طَافَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم عَلَى بَعِيرِهِ، وَكَانَ كُلَّمَا أَتَى عَلَى الرُّكْنِ أَشَارَ إِلَيْهِ، وَكَبَّرَ‏.‏ وَقَالَتْ زَيْنَبُ قَالَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم ‏"‏ فُتِحَ مِنْ رَدْمِ يَأْجُوجَ وَمَأْجُوجَ مِثْلُ هَذِهِ ‏"‏‏.‏ وَعَقَدَ تِسْعِينَ‏.‏
Traduction
Rapporté par Anas bin Malik

Du vivant du Messager d’Allah (ﷺ), un Juif a attaqué une fille et a pris des ornements en argent qu’elle portait et lui a écrasé la tête. Son parent l’a amenée au Prophète (ﷺ) alors qu’elle était dans son dernier souffle, et elle était incapable de parler. Le Messager d’Allah (ﷺ) lui demanda : « Qui t’a frappée ? Untel ?", mentionnant quelqu’un d’autre que son meurtrier. Elle a bougé la tête, indiquant le déni. Le Prophète (ﷺ) a mentionné une autre personne que le meurtrier, et elle a de nouveau bougé la tête en signe de déni. Puis il a demandé : « Était-ce untel ? », mentionnant le nom de son meurtrier. Elle hocha la tête, d’accord. Puis le Messager d’Allah (ﷺ) ; ordonna que la tête de ce Juif soit écrasée entre deux pierres.