Quand c'était le jour d'Al-Ahzab (c'est-à-dire les clans) et que le Messager d'Allah (< < /span>) a creusé la tranchée, je l'ai vu porter de la terre hors de la tranchée jusqu'à ce que la poussière fasse disparaître la peau de son Abdomen de ma vue et c'était un homme poilu. Je l'ai entendu réciter les vers poétiques composés par Ibn Rawaha alors qu'il portait la terre, "Ô Allah! Sans toi, nous n'aurions pas été guidés, nous n'aurions pas fait la charité, nous n'aurions pas prié. Alors, (Ô Allah), s'il te plaît envoie Sakina (c'est-à-dire le calme) sur nous et rends nos pieds fermes si nous rencontrons l'ennemi, car ils se sont rebellés contre nous. Et s'ils veulent l'affliction (c'est-à-dire qu'ils veulent nous effrayer et nous combattre) alors nous ne le ferions pas (fuir mais leur résister)."Le Prophète ( < < /span>) prolongeait alors sa voix aux derniers mots.