حَدَّثَنَا عَبْدُ اللَّهِ بْنُ مَسْلَمَةَ، عَنْ مَالِكٍ، عَنْ يَحْيَى بْنِ سَعِيدٍ، عَنْ بُشَيْرِ بْنِ يَسَارٍ، أَنَّ سُوَيْدَ بْنَ النُّعْمَانِ، أَخْبَرَهُ أَنَّهُ، خَرَجَ مَعَ النَّبِيِّ صلى الله عليه وسلم عَامَ خَيْبَرَ، حَتَّى إِذَا كُنَّا بِالصَّهْبَاءِ ـ وَهْىَ مِنْ أَدْنَى خَيْبَرَ ـ صَلَّى الْعَصْرَ، ثُمَّ دَعَا بِالأَزْوَادِ فَلَمْ يُؤْتَ إِلاَّ بِالسَّوِيقِ، فَأَمَرَ بِهِ فَثُرِّيَ، فَأَكَلَ وَأَكَلْنَا، ثُمَّ قَامَ إِلَى الْمَغْرِبِ، فَمَضْمَضَ وَمَضْمَضْنَا، ثُمَّ صَلَّى وَلَمْ يَتَوَضَّأْ‏.‏
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Rapporté par Abou Burda

Abou Moussa a dit : « Le Prophète (ﷺ) a dit : « Je reconnais la voix du groupe d’Al-Ashariyun, quand ils récitent le Coran, quand ils entrent dans leurs maisons la nuit, et je reconnais leurs maisons en écoutant leurs voix quand ils récitent le Coran la nuit, bien que je n’aie pas vu leurs maisons quand ils sont venus à eux pendant la journée. Parmi eux se trouve Hakim qui, lorsqu’il rencontrait la cavalerie ou l’ennemi, avait l’habitude de leur dire (c’est-à-dire l’ennemi). Mes compagnons t’ordonnent de les attendre. "