que son père a dit : « En l’année de Hajjatal-Wada', le Prophète (ﷺ) m’a rendu visite alors que je souffrais d’une maladie qui m’avait amené au bord de la mort. J’ai dit : « Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! Ma maladie m’a réduit à l’état (mauvais) comme vous le voyez, et je suis un homme riche, mais je n’ai pas d’héritiers sauf une fille. Dois-je donner les 2/3 de mes biens à la charité ? Il a dit : « Non. » J’ai dit : « Alors 1/2 ? » Il a dit : « Même 1/3 est trop, car il vaut mieux laisser ses héritiers riches que de les laisser dans la pauvreté, mendiant auprès des gens. Et sachez que tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah, vous en serez récompensé, même pour le morceau de nourriture que vous mettrez dans la bouche de votre femme. J’ai dit : « Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! Est-ce que je serai laissé derrière mes compagnons (à la Mecque) ? Il a dit : « Si tu restes en arrière, toute bonne action que tu feras pour l’amour d’Allah t’élèvera et t’élèvera à une position plus élevée. Peut-être vivrez-vous plus longtemps, de sorte que certaines personnes pourront bénéficier de vous, et que d’autres (païens) pourront être blessés par vous. Ô Allah ! Achève la migration de mes compagnons et ne les tourne pas sur leurs talons ; Mais (nous avons pitié) du pauvre Sa’d bin Khaula (pas le Sa’d mentionné ci-dessus) (mort à La Mecque)" Le Messager d’Allah (ﷺ) s’est lamenté (ou a eu pitié) pour lui alors qu’il mourait à La Mecque. (Voir Hadith n° 693, Vol. 5)