حَدَّثَنَا أَبُو الْيَمَانِ، أَخْبَرَنَا شُعَيْبٌ، عَنِ الزُّهْرِيِّ، أَخْبَرَنِي عُرْوَةُ بْنُ الزُّبَيْرِ، أَنَّ زَيْنَبَ بِنْتَ أَبِي سَلَمَةَ، أَخْبَرَتْهُ عَنْ أُمِّهَا أُمِّ سَلَمَةَ، قَالَتْ سَمِعَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم جَلَبَةَ خِصَامٍ عِنْدَ بَابِهِ فَخَرَجَ عَلَيْهِمْ فَقَالَ " إِنَّمَا أَنَا بَشَرٌ، وَإِنَّهُ يَأْتِينِي الْخَصْمُ، فَلَعَلَّ بَعْضًا أَنْ يَكُونَ أَبْلَغَ مِنْ بَعْضٍ، أَقْضِي لَهُ بِذَلِكَ وَأَحْسِبُ أَنَّهُ صَادِقٌ، فَمَنْ قَضَيْتُ لَهُ بِحَقِّ مُسْلِمٍ فَإِنَّمَا هِيَ قِطْعَةٌ مِنَ النَّارِ، فَلْيَأْخُذْهَا أَوْ لِيَدَعْهَا ".
Traduction
Rapporté par Umm Salama
Le Prophète (ﷺ) entendit les voix de certaines personnes qui se querellaient près de sa porte, alors il alla vers eux et dit : « Je ne suis qu’un être humain et les plaideurs avec des cas de différends viennent à moi, et peut-être que l’un d’eux présente son cas avec éloquence d’une manière plus convaincante et impressionnante que l’autre, et je donne mon verdict en sa faveur, pensant qu’il est véridique. Donc, si je donne le droit d’un musulman à un autre (par erreur), alors cette (propriété) est un morceau de feu, c’est à lui de le prendre ou de le laisser. (Voir Hadith n° 281)