حَدَّثَنِي إِسْحَاقُ، حَدَّثَنَا النَّضْرُ، أَخْبَرَنَا شُعْبَةُ، عَنْ سَعِيدِ بْنِ أَبِي بُرْدَةَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنْ جَدِّهِ، قَالَ لَمَّا بَعَثَهُ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم وَمُعَاذَ بْنَ جَبَلٍ قَالَ لَهُمَا ‏"‏ يَسِّرَا وَلاَ تُعَسِّرَا، وَبَشِّرَا وَلاَ تُنَفِّرَا، وَتَطَاوَعَا ‏"‏‏.‏ قَالَ أَبُو مُوسَى يَا رَسُولَ اللَّهِ إِنَّا بِأَرْضٍ يُصْنَعُ فِيهَا شَرَابٌ مِنَ الْعَسَلِ، يُقَالُ لَهُ الْبِتْعُ، وَشَرَابٌ مِنَ الشَّعِيرِ، يُقَالُ لَهُ الْمِزْرُ‏.‏ فَقَالَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم ‏"‏ كُلُّ مُسْكِرٍ حَرَامٌ ‏"‏‏.‏
Traduction
Rapporté par Al-Azraq bin Qais

Nous étions dans la ville d’Al-Ahwaz, sur la rive d’une rivière qui s’était asséchée. Puis Abou Barza Al-Aslami est arrivé à cheval et il a commencé à prier et a lâché son cheval. Le cheval s’est enfui, alors Abou Barza a interrompu sa prière et a poursuivi le cheval jusqu’à ce qu’il l’attrape et l’apporte, puis il a offert sa prière. Il y avait un homme parmi nous qui avait une opinion différente. Il est venu en disant. « Regardez ce vieil homme ! Il a quitté sa prière à cause d’un cheval. Là-dessus, Abou Barza est venu vers nous et a dit : « Depuis le moment où j’ai quitté le Messager d’Allah (ﷺ), personne ne m’a réprimandé. Ma maison est très loin d’ici, et si j’avais continué à prier et laissé mon cheval, je n’aurais pu arriver chez moi que la nuit. Puis Abou Barza a mentionné qu’il avait été en compagnie du Prophète et qu’il avait vu sa clémence.