Allah, le frère d’Abou Al-Qu’aïs, m’a demandé la permission d’entrer après la révélation des versets d’Al-Hijab (voilant les dames), et j’ai dit : « Par Allah, je ne l’admettrai pas à moins d’avoir obtenu l’autorisation du Messager d’Allah, car ce n’était pas le frère d’Al-Qu’ais qui m’avait allaité, mais c’était l’épouse d’Al-Qu’ais. qui m’avait allaité. Alors le Messager d’Allah (ﷺ) est entré chez moi et j’ai dit : « Ô Messager d’Allah (ﷺ! Ce n’est pas l’homme qui m’a allaité, mais c’est sa femme qui m’a allaité. Il a dit : « Admets-le parce qu’il est ton oncle (non pas par lien de sang, mais parce que tu as été nourri par sa femme), Taribat Yaminuki. » Urwa a dit : « Pour cette raison, » Aisha avait l’habitude de dire : « Les relations d’allaitement nourricières rendent illégales toutes ces choses (mariages, etc.) qui sont illégales à cause des liens de sang correspondants. » (Voir Hadith n° 36, Vol. 7)