Un jour, alors que le Prophète (ﷺ) distribuait (du butin de guerre, etc.), Dhul Khawaisira, un homme de la tribu des Bani Tamim, a dit : « Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! Agissez avec justice. Les prophètes dirent : « Malheur à vous ! Qui d’autre agirait justement si je n’agissais pas justement ? » Omar dit (au Prophèteﷺ) : « Permets-moi de lui couper le cou. » Le Prophète a dit : « Non, car il a des compagnons (qui sont apparemment si pieux que) si quelqu’un d’entre vous compare sa prière à) leur prière, il considérera sa prière comme inférieure à la leur, et de même son jeûne inférieur au leur, mais ils abandonneront l’Islam (sortent de la religion) comme une flèche traverse le corps de la victime (jeux etc.), auquel cas si son Nasl est examiné, on ne verra rien dessus. et si son Nady est examiné, on n’y verra rien, et si son Qudhadh est examiné, on n’y verra rien, car la flèche est sortie trop vite pour que les excrétions et le sang puissent la couvrir. De telles personnes sortiront au moment de la divergence entre les gens (musulmans) et le signe par lequel ils seront reconnus, sera un homme dont l’une des deux mains ressemblera à la poitrine d’une femme ou à un morceau de chair se déplaçant librement. Abou Sa’id a ajouté : « J’atteste que j’ai entendu cela de la bouche du Prophète (ﷺ) et j’atteste également que j’étais avec Ali quand Ali a combattu ces gens. L’homme décrit par le Prophète a été recherché parmi les tués, et il a été retrouvé, et il était exactement comme le Prophète (ﷺl’avait décrit. (Voir Hadith n° 807, Vol. 4)