حَدَّثَنَا يَحْيَى بْنُ بُكَيْرٍ، حَدَّثَنَا اللَّيْثُ، عَنْ عُقَيْلٍ، عَنِ ابْنِ شِهَابٍ، عَنْ عُرْوَةَ، عَنْ عَائِشَةَ ـ رضى الله عنها ـ قَالَتْ مَا خُيِّرَ النَّبِيُّ صلى الله عليه وسلم بَيْنَ أَمْرَيْنِ إِلاَّ اخْتَارَ أَيْسَرَهُمَا، مَا لَمْ يَأْثَمْ، فَإِذَا كَانَ الإِثْمُ كَانَ أَبْعَدَهُمَا مِنْهُ، وَاللَّهِ مَا انْتَقَمَ لِنَفْسِهِ فِي شَىْءٍ يُؤْتَى إِلَيْهِ قَطُّ، حَتَّى تُنْتَهَكَ حُرُمَاتُ اللَّهِ، فَيَنْتَقِمُ لِلَّهِ‏.‏
Traduction
Rapporté par Aïcha

Chaque fois que le Prophète (ﷺ) avait le choix entre deux choses, il avait l’habitude de choisir la plus facile des étoupes tant qu’elle n’était pas pécheresse ; mais si c’était un péché, il en resterait loin. Par Allah, il ne s’est jamais vengé de lui-même concernant une affaire qui lui a été présentée, mais lorsque les limites d’Allah ont été transgressées, il s’est vengé pour l’amour d’Allah.