حَدَّثَنَا قُتَيْبَةُ بْنُ سَعِيدٍ، حَدَّثَنَا سُفْيَانُ، عَنْ هِشَامِ بْنِ عُرْوَةَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنْ عَائِشَةَ ـ رضى الله عنها – {وَإِنِ امْرَأَةٌ خَافَتْ مِنْ بَعْلِهَا نُشُوزًا أَوْ إِعْرَاضًا} قَالَتْ هُوَ الرَّجُلُ يَرَى مِنِ امْرَأَتِهِ مَا لاَ يُعْجِبُهُ، كِبَرًا أَوْ غَيْرَهُ، فَيُرِيدُ فِرَاقَهَا فَتَقُولُ أَمْسِكْنِي، وَاقْسِمْ لِي مَا شِئْتَ. قَالَتْ فَلاَ بَأْسَ إِذَا تَرَاضَيَا.
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Rapporté par Aïcha
Le verset suivant : Si une femme craint la cruauté ou l’abandon de la part de son mari (c’est-à-dire que le mari remarque quelque chose de désagréable chez sa femme, comme la vieillesse ou autre, et veut divorcer, mais elle lui demande de la garder et de subvenir à ses besoins comme il le souhaite). (4.128) « Il n’y a pas de blâme sur eux s’ils se réconcilient sur cette base. »