حَدَّثَنَا خَلاَّدُ بْنُ يَحْيَى، حَدَّثَنَا مِسْعَرٌ، حَدَّثَنَا قَتَادَةُ، حَدَّثَنَا زُرَارَةُ بْنُ أَوْفَى، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، يَرْفَعُهُ قَالَ ‏"‏ إِنَّ اللَّهَ تَجَاوَزَ لأُمَّتِي عَمَّا وَسْوَسَتْ أَوْ حَدَّثَتْ بِهِ أَنْفُسَهَا، مَا لَمْ تَعْمَلْ بِهِ أَوْ تَكَلَّمْ ‏"‏‏.‏
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Rapporté par 'Abdullah bin 'Amr bin Al-As

Alors que le Prophète (ﷺ) prononçait un sermon le Jour de Nahr (c’est-à-dire le 10ème Dhul-Hijja - Jour de l’abattage du sacrifice), un homme s’est levé en disant : « Je pensais, Ô Messager d’Allah (ﷺ), que telle chose devait être faite avant telle ou telle chose. » Un autre homme se leva et dit : « Ô Messager d’Allah (ﷺ) ! En ce qui concerne ces trois (actes du Hajj), pensaient ceci et cela. Le Prophète (ﷺ) a dit : « Fais, et il n’y a pas de mal », à propos de toutes ces questions ce jour-là. Et donc, ce jour-là, quelle que soit la question qu’on lui posait, il a dit : « Fais-le, fais-le, et il n’y a pas de mal à cela. »