حَدَّثَنَا خَلاَّدُ بْنُ يَحْيَى، حَدَّثَنَا مِسْعَرٌ، حَدَّثَنَا قَتَادَةُ، حَدَّثَنَا زُرَارَةُ بْنُ أَوْفَى، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، يَرْفَعُهُ قَالَ ‏"‏ إِنَّ اللَّهَ تَجَاوَزَ لأُمَّتِي عَمَّا وَسْوَسَتْ أَوْ حَدَّثَتْ بِهِ أَنْفُسَهَا، مَا لَمْ تَعْمَلْ بِهِ أَوْ تَكَلَّمْ ‏"‏‏.‏
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D’après Al-Bara bin Azib, une fois qu’il avait un invité, il dit à sa famille (le jour de l’Id-ul-Adha) qu’ils devaient abattre l’animal pour le sacrifier avant qu’il ne revienne de la prière afin que leur invité puisse prendre son repas. Alors sa famille a abattu (l’animal) avant la prière. Puis ils ont mentionné cet événement au Prophète qui a ordonné à Al-Bara de massacrer un autre sacrifice. Al-Bara' dit au Prophète (ﷺ) : « J’ai une jeune chèvre laitière qui vaut mieux que deux brebis pour l’abattage. » (Le sous-narrateur, Ibn 'Aun, avait l’habitude de dire : « Je ne sais pas si la permission (d’abattre une chèvre en sacrifice) a été spécialement donnée à Al-Bara' ou si c’était en général pour tous les musulmans. ») (Voir Hadith n° 99, Vol. 2.)