حَدَّثَنَا نَصْرُ بْنُ عَلِيٍّ الْجَهْضَمِيُّ، وَمُحَمَّدُ بْنُ الْمُثَنَّى، قَالاَ حَدَّثَنَا عَبْدُ الأَعْلَى، حَدَّثَنَا خَالِدٌ الْحَذَّاءُ، عَنْ أَبِي قِلاَبَةَ، عَنْ أَبِي الْمُهَلَّبِ، عَنْ عِمْرَانَ بْنِ حُصَيْنٍ، أَنَّ رَجُلاً، كَانَ لَهُ سِتَّةُ مَمْلُوكِينَ لَيْسَ لَهُ مَالٌ غَيْرُهُمْ فَأَعْتَقَهُمْ عِنْدَ مَوْتِهِ فَجَزَّأَهُمْ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم فَأَعْتَقَ اثْنَيْنِ وَأَرَقَّ أَرْبَعَةً ‏.‏
Traduction
Il a été rapporté que Zaid bin Arqam a dit

« Un cas a été porté à l’attention d’Ali bin Abu Talib alors qu’il était au Yémen, concernant trois hommes qui avaient eu des rapports sexuels avec une femme pendant une période où il n’avait pas ses règles. Il demanda à deux d’entre eux : « Affirmez-vous que cet enfant appartient à (le troisième homme) ? » Et ils ont dit : « Non. » Il en demanda deux autres : « Affirmez-vous que cet enfant appartient à (le troisième homme) ? » Et ils ont dit : « Non. » Chaque fois qu’il demandait à deux d’entre eux s’ils affirmaient que l’enfant appartenait au troisième, ils répondaient non. Il tira donc au sort entre eux, attribua l’enfant à celui dont le nom fut choisi de cette manière, et l’obligea à payer les deux tiers de la diya. Le Prophète (ﷺ) en a été informé, et il a souri si largement que ses dents de derrière sont devenues visibles.