حَدَّثَنَا أَبُو بَكْرِ بْنُ أَبِي شَيْبَةَ، وَعَلِيُّ بْنُ مُحَمَّدٍ، وَأَبُو عُمَرَ الضَّرِيرُ قَالُوا حَدَّثَنَا وَكِيعٌ، حَدَّثَنَا هِشَامُ بْنُ عُرْوَةَ، عَنْ أَبِيهِ، عَنْ عَائِشَةَ، قَالَتْ جَاءَتْ هِنْدٌ إِلَى النَّبِيِّ ـ صلى الله عليه وسلم ـ فَقَالَتْ يَا رَسُولَ اللَّهِ إِنَّ أَبَا سُفْيَانَ رَجُلٌ شَحِيحٌ وَلاَ يُعْطِينِي مَا يَكْفِينِي وَوَلَدِي إِلاَّ مَا أَخَذْتُ مِنْ مَالِهِ وَهُوَ لاَ يَعْلَمُ ‏.‏ فَقَالَ ‏"‏ خُذِي مَا يَكْفِيكِ وَوَلَدَكِ بِالْمَعْرُوفِ ‏"‏ ‏.‏
Traduction
Il a été rapporté d’après 'Aïcha que le Messager d’Allah (ﷺ) a dit

« Quand une femme dépense » et mon père a dit : « Quand une femme nourrit (les pauvres) de la maison de son mari, sans trop dépenser, elle aura sa récompense, et il sera récompensé de même parce qu’il l’a gagnée, et elle sera récompensée pour ce qu’elle a dépensé. Il en est de même pour le commerçant, sans que rien ne soit diminué à leurs récompenses.