عَن أبي أَيُّوب قَالَ: كُنَّا عِنْدَ النَّبِيِّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ فَقُرِّبَ طَعَامٌ فَلَمْ أَرَ طَعَامًا كَانَ أَعْظَمَ بَرَكَةً مِنْهُ أَوَّلَ مَا أَكَلْنَا وَلَا أَقَلَّ بَرَكَةً فِي آخِرِهِ قُلْنَا: يَا رَسُولَ اللَّهِ كَيْفَ هَذَا؟ قَالَ: «إِنَّا ذَكَرْنَا اسْمَ اللَّهِ عَلَيْهِ حِينَ أَكَلْنَا ثُمَّ قَعَدَ مَنْ أَكَلَ وَلَمْ يُسَمِّ اللَّهَ فَأَكَلَ مَعَهُ الشَّيْطَانُ» . رَوَاهُ فِي شرح السّنة
Traduction

Salman a raconté que lorsque le messager de Dieu a été interrogé sur le beurre clarifié, le fromage et les ânes sauvages, il a répondu : « Ce qui est licite, c’est ce que Dieu a déclaré licite dans Son Livre, ce qui est illégal est ce que Dieu a déclaré illégal dans Son Livre, et ce qu’Il n’a rien dit appartient aux choses qu’Il ignore. » Ibn Majah et Tirmidhi l’ont transmise, Tirmidhi disant que c’est une tradition de gharib qui, selon l’opinion la plus solide, est mauquf.