عَنِ الْحَسَنِ مُرْسَلًا قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «مَنْ جَاءَهُ الْمَوْتُ وَهُوَ يَطْلُبُ الْعِلْمَ لِيُحْيِيَ بِهِ الْإِسْلَامَ فَبَيْنَهُ وَبَيْنَ النَّبِيِّينَ دَرَجَةٌ وَاحِدَةٌ فِي الْجَنَّةِ» . رَوَاهُ الدَّارمِيّ
Traduction
'Abdallah b. Mas’ud a dit
Si les savants gardaient l’apprentissage et le confiaient à ceux qui en sont dignes, ils gouverneraient ainsi leurs contemporains. Mais ils l’ont accordé aux gens du monde pour obtenir ainsi quelques-uns de leurs biens terrestres, et ils ont été méprisés par eux. J’ai entendu votre Prophète dire : « Si quelqu’un fait du soin de son bien-être éternel la somme totale de ses soucis, Dieu le protégera des soins du monde, mais s’il a une variété de soucis consistant en des questions liées à ce monde, Dieu ne se souciera pas de savoir dans quels oueds il périt. » Ibn Majah l’a transmis, et Baihaqi l’a transmis dans Shu’ab al-iman d’Ibn 'Umar en commençant par « Si quelqu’un prend soin ».