عَنِ ابْنِ عُمَرَ رَضِيَ اللَّهُ عَنْهُمَا قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «مَنْ أَعْتَقَ شِرْكًا لَهُ فِي عَبْدٍ وَكَانَ لَهُ مَالٌ يَبْلُغُ ثَمَنَ الْعَبْدِ قُوِّمَ الْعَبْدُ قِيمَةَ عَدْلٍ فَأُعْطِيَ شُرَكَاؤُهُ حِصَصَهُمْ وَعَتَقَ عَلَيْهِ الْعَبْدُ وَإِلَّا فَقَدْ عَتَقَ مِنْهُ مَا عَتَقَ»
Traduction

Imran b. Husain a dit qu’un homme qui n’avait pas d’autres biens a émancipé six de ses esclaves au moment de sa mort. Le Messager de Dieu les appela, et après les avoir divisés en trois sections, tiré au sort parmi eux, en avoir libéré deux et en avoir gardé quatre en esclavage, il parla sévèrement de lui. Nasa’i l’a transmis sur l’autorité de 'Imran, mais au lieu de « il a parlé sévèrement de lui », il a mentionné que le Prophète a dit : « J’étais enclin à ne pas prier pour lui. » Dans la version d’Abou Dawud, il a dit : « Si j’avais été présent avant son enterrement, il n’aurait pas été enterré dans un cimetière musulman. » Muslim l’a transmise. *Le principe est qu’au moins les deux tiers des biens d’un homme décédé doivent aller aux héritiers.