وَعَنِ الْمُغِيرَةِ بْنِ شُعْبَةَ أَنَّ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ قَالَ: «الرَّاكِبُ يَسِيرُ خَلْفَ الْجَنَازَةِ والماشي يمشي خلفهَا وأمامها وَعَن يَمِينهَا وَعَن يسارها قَرِيبا مِنْهَا وَالسَّقْطُ يُصَلَّى عَلَيْهِ وَيُدْعَى لِوَالِدَيْهِ بِالْمَغْفِرَةِ وَالرَّحْمَةِ» . رَوَاهُ أَبُو دَاوُدَ وَفِي رِوَايَةِ أَحْمَدَ وَالتِّرْمِذِيِّ وَالنَّسَائِيّ وَابْن مَاجَه قَالَ: «الرَّاكِب خلف الْجِنَازَة وَالْمَاشِي حَيْثُ شَاءَ مِنْهَا وَالطِّفْلُ يُصَلَّى عَلَيْهِ» وَفِي المصابيح عَن الْمُغيرَة بن زِيَاد
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Il a rapporté que lorsque le messager de Dieu a prié autour d’une bière, il a dit : « Ô Dieu, pardonne à ceux d’entre nous qui sont vivants et à ceux d’entre nous qui sont morts, à ceux d’entre nous qui sont présents et à ceux d’entre nous qui sont absents, nos jeunes et nos vieux, nos hommes et nos femmes. Ô Dieu, à quiconque de nous donne la vie, garde-le fidèle à l’Islam tandis que Tu lui donnes la vie, et celui d’entre nous que Tu prends dans la mort, prends-le comme croyant. Ô Dieu, ne nous refuse pas la récompense de la foi (l’arabe est diversement expliqué, soit comme traduit ci-dessus, soit comme la récompense de l’homme qui est mort, ou du croyant. Le texte est ajrahu qui signifie « sa récompense », ou « sa récompense ». Cf. Mirgat, II, 365.), ou éprouvez-nous après sa mort. Ahmad, Abou Dawud, Tirmidhi et Ibn Majah l’ont transmise. Nasa’i l’a transmis d’Abou Ibrahim al-Ashhali qui a cité l’autorité de son père, sa version se terminant par « femelle ». La version d’Abou Dawud est la suivante : « Accorde-lui la vie en tant que croyant et prenez-le dans la mort en tant que disciple de l’Islam. » Il se termine ainsi : « Ne nous égare pas après sa mort. »